Une assemblée qui se déhanche, de la scène au public, au son de « Uptown Funk », le tube du moment, par Bruno Mars et Mark Ronson ? Pas d’erreur, nous assistons bien aux « 16 heures » de Redken, le grand événement de la marque qui a remplacé cette année les deux jours traditionnellement organisés, en juin, au Palais Brongniart, à Paris. Nouveau décor en ce 13 avril ensoleillé, et cap sur l’hôtel New York de Disneyland Paris pour rappeler l’ADN « 5th Avenue » de Redken, dans un format plus condensé, autour des valeurs chères à la marque : son fameux pragmatisme commercial (« learn better, earn better, live better » : « mieux se former, gagner mieux sa vie, vivre mieux »), sa perpétuelle quête d’inspiration « mode », et son sens de l’innovation. Le tout dans une bonne humeur communicative et avec le « clapping » à l’américaine qui ouvre et clôt chaque événement… Au programme, pour les 300 afficionados de la marque new yorkaise : des workshops pointus sur les tendances couleur (avec les formatrices Camille Flipo et Caroline Filancia), et l’absolue nécessité de proposer un service personnalisé, notamment grâce à la dernière technique de Redken, le « blur », inspirée du maquillage; mais aussi sur le styling, avec un plateau de « coiffage express » proposé par Nicolas Alexandre Henry, Laurent Mathéo et Aline Legoupil, illustré par des danseuses voluptueuses faisant bouger sans états d’âmes leurs longs cheveux et leurs attaches floues. Après le déjeuner, focus sur l’indispensable palette du blond, avec la gamme Blonde Idol encore enrichie de nouveaux effets soleil (avec Stéphane Amaru, Laurent Mathéo et Nicolas Alexandre Henry), mais aussi sur l’aménagement du salon, avant un show final inspiré de séries telles que « Game of Thrones », avec Nathalie Faty, Damien Dussert et Aline Legoupil. Une journée qui a semble-t-il rempli son objectif, résumé par Olivier Fourreau, directeur général de Redken France : « que vous repartiez tous avec quelque chose que vous pouvez apprendre et mettre en pratique en salon ». Tout en suivant une ligne rouge, à travers tous les plateaux : celui de faire revenir les femmes en salon, toutes les femmes, celles qui ont les cheveux longs (avec la nouvelle gamme Extreme Length), celles qui sont branchées, qui sont connectées, pressées, changeantes… Avec un mot d’ordre : les services rapides, des tarifs accessibles et affichés, une présence impérative des coiffeurs sur le net.
Photo : Steven Herteleer
